La fraysexualité, moins connue dans le spectre de l’asexualité, décrit une attirance sexuelle décroissante envers un partenaire à mesure que l’intimité émotionnelle augmente. Contrairement aux démisexuel.le.s, les fraysexuel.le.s voient leur désir physique diminuer lorsque l’intimité émotionnelle se renforce.
Dans le domaine du plaisir masculin, l’utilisation des mains et de la bouche est essentielle. Les doigts peuvent caresser et explorer les parties sensibles du corps de l’homme, tandis que le sexe anal peut offrir de nouvelles sensations, en particulier en explorant la prostate.
Une étude récente a identifié des variations génétiques spécifiquement liées à la bisexualité, mettant en lumière les facteurs biologiques qui influencent l’orientation sexuelle. Cependant, les chercheurs soulignent que la bisexualité est déterminée à 40% par des facteurs génétiques et à 60% par l’environnement, soulignant ainsi l’importance de multiples facteurs dans la complexité de la sexualité humaine.
L’échangisme gagne en popularité en France, avec de plus en plus de couples qui cherchent à explorer de nouvelles sensations. Cette pratique basée sur le respect, l’éthique et le consentement offre aux partenaires la possibilité d’explorer leurs fantasmes et de renforcer leur complicité.
Le bondage est une pratique sexuelle qui consiste à attacher son ou sa partenaire pendant les rapports. Bien que cela puisse procurer un plaisir intense et pimenter la sexualité, il est important de prendre des précautions pour éviter tout risque de douleur, d’étranglement ou de blessure.
Léa, une sexothérapeute connue sur Instagram (@MerciBeaucul_), partage des conseils pour préparer un rapport anal réussi, incluant une communication ouverte avec son partenaire, une hygiène adéquate, l’utilisation de lubrifiant et l’exploration progressive des plaisirs anaux. Elle recommande également de consulter un professionnel de la santé ou un(e) sexothérapeute pour des conseils personnalisés.
La soumission sexuelle est une pratique érotique où l’un des partenaires se place volontairement dans une position d’infériorité et répond aux désirs de l’autre. Certains hommes apprécient d’être soumis pour des raisons de lâcher-prise, de désir d’émotions fortes ou de besoin de soumission lié à leur passé, tandis que certaines femmes préfèrent les hommes soumis pour le contrôle et la satisfaction sexuelle qu’ils offrent.
Le côte-à-côtisme est une pratique sexuelle soft où les couples font l’amour en présence d’autres couples sans contact physique. C’est une façon excitante de pimenter sa relation, mais cela comporte des risques tels que la comparaison avec les autres et la rupture de la connexion entre les partenaires.
Un skatepark à Amsterdam offre un espace sécurisé pour la communauté LGBTQ+ et les femmes skateurs, luttant ainsi contre la discrimination et la culture machiste souvent associée à ce sport. Ce skatepark encourage la diversité et l’inclusion, offrant des sessions d’apprentissage pour tous les niveaux dans un environnement bienveillant et respectueux.
Le BDSM, pratique sexuelle incluant la domination et la soumission, gagne en popularité grâce à des événements thématiques et des sites de rencontres dédiés, mais doit toujours être pratiqué dans le respect du consentement mutuel et des limites de chacun. D’autres pratiques sexuelles, telles que l’humiliation, le CBT, la momification, le cocufiage, la claustrophilie, la Vicarphilia, le jeu de rôle, les jeux d’impacts et les jeux d’âge, peuvent aussi être explorées consensuellement et en prenant en compte la sécurité émotionnelle et physique de tous les participants.