L’été torride des Français : leurs lieux préférés pour des moments intimes dévoilés
En matière de sexualité et de plaisirs estivaux, les Français n’hésitent pas à sortir des sentiers battus, selon une enquête menée par Adam et Eve, une marque de sextoys. Ce sondage, intitulé Sex Report 2024, nous révèle que les Français sont prêts à expérimenter de nouveaux horizons pour booster leur vie intime. La saison estivale est souvent perçue comme favorable au relâchement et à l’aventure, incitant bon nombre d’entre eux à explorer des lieux inédits pour leurs ébats. Alors, face à ce tableau, êtes-vous plutôt plage ou nature?
L’amour en pleine nature, pour près d’un tiers des interrogés
La première donnée marquante de cette enquête, menée sur un échantillon de 1 000 Français, est la soif de nouveauté et d’aventure. En effet, 33 % des interrogé.e.s se déclarent ouvert.e.s à faire de nouvelles expériences sexuelles pendant l’été. Cette période est perçue comme propice aux rencontres, à la découverte et à l’éveil des désirs. Parmi les lieux insolites plébiscités pour les moments intimes, plusieurs se démarquent :
Lieu | % des interrogés |
---|---|
Dans un avion | 9 % |
Sur la plage | 22 % |
Dans un hôtel | 33 % |
Dans la nature | 34 % |
Avec 34 % des voix, la pleine nature s’annonce comme le lieu favori pour ces escapades intimes, souvent au détour d’une balade romantique. Toutefois, attention aux piqûres d’insectes qui peuvent rapidement gâcher l’ambiance !
La période idéale pour expérimenter
Preuve de l’esprit aventureux des Français, le rapport indique également que 41 % des répondant.e.s possèdent un ou plusieurs sextoys. Que ce soit en solo ou en duo, 47 % de ces utilisateurs.trices intègrent ces accessoires dans leurs moments d’intimité, confirmant ainsi leur rôle crucial pour pimenter les vacances. Néanmoins, conjuguer transgression et plaisir en optant pour des lieux publics peut réserver quelques surprises. Si les forces de l’ordre vous surprennent en plein ébat, vos galipettes pourraient être assimilées à de l’exhibitionnisme, passible de sanctions selon l’article 222-32 du Code pénal. Les peines peuvent aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, de quoi refroidir certaines ardeurs…