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« Deepfakes pornographiques de Taylor Swift : Un impact sur la législation américaine »

Des deepfakes pornographiques de Taylor Swift pourraient changer la loi

Des images pornographiques de Taylor Swift ont été diffusées sur le réseau social X, générées par l’intelligence artificielle (IA), suscitant l’indignation des fans de la chanteuse ainsi que des politiques. Cette affaire pourrait entraîner des changements dans la législation américaine.

La mobilisation des fans contre les deepfakes

Les fans de Taylor Swift se sont rapidement mobilisés sur X pour tenter de faire disparaître les deepfakes impliquant la chanteuse. Face à une avalanche de contenus pornographiques générés par IA, les Swifties ont créé des hashtags tels que #ProtectTaylorSwift et signalé les images aux modérateurs de la plateforme. Cette mobilisation a permis de limiter la diffusion de ces deepfakes, démontrant ainsi la problématique grandissante de ces contenus manipulés facilement partageables en ligne.

La tolérance zéro de X face aux deepfakes

Le réseau social X a pris des mesures strictes pour lutter contre les deepfakes pornographiques. Dans un post, il a déclaré appliquer une politique de tolérance zéro envers toute publication d’images de nudité non consensuelle (NCN). L’équipe de modération travaille activement pour supprimer ces contenus et prendre des mesures contre les comptes responsables de leur diffusion. X s’engage à maintenir un environnement sûr et respectueux pour tous les utilisateurs.

Un impact sur la législation américaine

Cette affaire a eu un écho important aux États-Unis et pourrait conduire à des changements législatifs. La popularité et l’influence de Taylor Swift pourraient contribuer à modifier les lois en vigueur. La Maison-Blanche s’est exprimée à ce sujet par le biais de sa porte-parole, Karine Jean-Pierre, déclarant que les questions liées à l’intelligence artificielle étaient une priorité pour l’administration de Joe Biden. La modification de la législation nécessite l’action du Congrès pour aborder ces problèmes de manière appropriée.

En France, la diffusion d’images pornographiques sans le consentement de la personne concernée est punie de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende si l’image est issue des réseaux sociaux. Si le contenu n’est pas publié en ligne, la peine est de deux ans d’emprisonnement et de 60 000 euros d’amende.

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